« On dirait que l’homme est destiné à s’exterminer lui-même après avoir rendu le globe inhabitable » (Lamarck, 1820)
« L’homme a perdu la capacité de prévoir et de prévenir. Il finira par détruire la Terre » (Albert Schweitzer)
« L’humanité risque de consommer sa ruine par sa lutte incessante et universelle contre la nature, plus que par n’importe quelles guerres » (Fairfield Osborne : La planète au pillage, 1949)
« Depuis que l’homme habite cette planète, le printemps est la saison de la renaissance et du chant des oiseaux. Maintenant, dans certaines parties des USA, le printemps est étrangement silencieux, parce que la plupart des oiseaux sont morts – victimes collatérales de notre imprudente entreprise de contrôler notre environnement par l’utilisation de produits chimiques qui empoisonnent non seulement les insectes contre lesquels ils sont dirigés, mais aussi les oiseaux dans l’air, le poisson dans les rivières, la Terre qui fournit notre nourriture et, inévitablement (à quel degré, on ne le sait pas encore), l’homme lui-même ».« Silent spring » (Le printemps silencieux) (1960-62, éd. française 1963)
« Avant que nature meure » (Jean Dorst, 1965), il faudra choisir « L’homme ou la nature » (E. Bonnefous 1970) ou alors « La terre sans arbres » (Erik P. Eckholm, 1972).
En voulant trop dominer la nature, l’homme la détruit
« L’homme est devenu trop puissant pour se permettre de jouer avec le mal…( Jean Rostand)